zondag 25 maart 2012xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

Net geen genocide…..

Over het lot de Vlamingen….

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Lang zal het niet meer duren, voor de regome-media in Laag-België de hint van de Libre ontdekt : een of ander Europees ‘machin’ in het EU-USSR-parlement heeft de partij van BDW geclassificeerd als racistisch.

What will be, will be!

Ik denk dat de messen nu gewed worden, om de NV-A(verechts) te castreren tot NV Rechts, zonder dat aanhangsel/voorzetsel A. De palen worden gezet, waaraan de stroomdraden voor het cordon sanitaire zullen aan worden vast gemaakt. Voor de Francofonie en voor de verzuipende restanten van de kleurpartijen in Vlaanderen (Laag België) eindelijk een lang verwachte droom die in vervulling gaat.

Vandaag wordt er reeds een vliegertje opgelaten : er zouden 800.000 stemgerechtigde vreemdelingen, waarvan 300.000 in Vlaanderen, zijn voor de Gemeenteraadsverkiezingen. Dat( zou willen zeggen, dat het Francofone front versterkt is met bijna 20%.

Het worden dus de verkiezingen van de laatste kans. Vanaf een bepaald ogenblik gaat het vervolgens de Arabische kant op….Tenzij Di Rupetto vroegtijdig zou gewipt worden. Neen, stekkers zullen er deze keer niet worden uitgetrokken, want dat zou gelijk staan met zelfmoord. De Ps kennende, zou een of ander schandaaltje best kunnen zorgen voor de explosie. Of de implosie, al naar gelang het best uitkomt. Men is nu al 100 dagen ongestraft bezig, en dat kan overmoedig maken. Net als een dievenbende, die met de dag overmoediger wordt….

Wat er ook van zij : voor de kiezer wordt het verschil tussen de ene Geel-Zwarten en de andere Geel-Zwarten, steeds kleiner. En daar de  Niveanen altijd aangemerkt werden als halve Tsjeven, zal de keus niet moeilijk zijn. Voor zover we op de meet niet zullen geklopt worden door…de Halve Maan!

Straks weten we dus proefondervindelijk, als de  omschrijving van de elite klopt dat extreem-rechts eigenlijk de wil van het volk is.

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La N-VA considérée comme un parti d'extrême droite

Belga LIBRE B.

Le sénateur MR Alain Destexhe, bien connu pour ses positions sans langue de bois, a réagi sur Twitter en qualifiant les réactions du "MRAX et consorts" à cette information de "bonne blague".

Le Réseau européen contre le racisme (ENAR) considère la N-VA comme un parti d'extrême droite dans sa publication "Les partis d'extrême droite et leur discours en Europe: un défi de notre temps", sortie mercredi à l'occasion de la Journée internationale contre le racisme.

Le Vlaams Belang est également cité à plusieurs reprises. La publication indique que "Bart De Wever, le chef de file de la N-VA qui a éclipsé le Vlaams Belang, réussit très bien à la télévision avec un mélange d'humour et de populisme". Le parti flamand figure parmi les partis étudiés, dont la liste est publiée en début d'ouvrage.

Le Vlaams Belang est également cité. L'ENAR note que le parti présidé par Bruno Valkeniers "produit idéologiquement une Europe qui est en opposition avec l'Union européenne. Cette dernière est tenue pour responsable de l'immigration non européenne excessive."

L'ENAR est un réseau de plus de 700 organisations combattant le racisme dans les 27 Etats-membres, dont, en Belgique, notamment le MRAX, la Ligue des Droits de l'Homme et le Centre Bruxellois d'Action Interculturelle. Cette publication vise à "offrir une analyse des partis politiques d'extrême droite au sein de l'Union européenne en examinant la situation politique actuelle ainsi que le discours et le contexte de ces partis."

Le sénateur MR Alain Destexhe, bien connu pour ses positions sans langue de bois, a réagi sur Twitter en qualifiant les réactions du "MRAX et consorts" à cette information de "bonne blague".

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Welke omschrijving zouden de Franscouiloons eigenlijk geven aan de idee die Vriend Roeland op zijn blog zette :  

Patrick Besson is een Frans journalist en auteur van verschillende boeken. Voor zijn werk 'Dara' kreeg hij in 1985 de Grand prix du roman de l'Académie française. Zijn vader is Russische Jood, zijn moeder is van Kroatische afkomst.

Wat hij hieronder neerschrijft over belgië, is toch wel lezenswaardig. Een Fransman die het goed begrijpt


"Je suis en Belgique le 16 mars 2012, jour de deuil national pour le décès de 28 voyageurs flamands, dont 22 enfants, dans un tunnel suisse. Ou plus exactement en Flandre : Bruxelles et Gand. Le problème, ce n'est pas le séparatisme flamand, c'est que la Flandre existe. C'est un pays, alors que la Belgique est une idée. Une nation, quand la Belgique est un souhait. Un peuple, lorsque les Belges sont des histoires. Ce jour-là, Flamands et Wallons se réconciliaient dans leur peine avec l'approbation émue des médias mondiaux, mais ils n'ont jamais été fâchés : ils sont différents. On a poussé, à la fin du XXe siècle, Tchèques et Slovaques, Serbes et Croates, Russes et Biélorusses à se séparer, et on s'effare que les Flamands et les Wallons se détachent les uns les autres alors qu'ils ont si peu d'attaches historiques, linguistiques, religieuses et maintenant économiques. On a applaudi à la dislocation de la Tchécoslovaquie, de la Yougoslavie et de l'URSS au nom du droit des petites nations à disposer d'elles-mêmes (Finkielkraut), mais ce même droit, on le refuse à la Flandre. Présentés comme coupables de séparatisme, les Flamands n'ont pas la chance qu'ont eue avant eux Kosovars, Géorgiens, Bosniaques ou Macédoniens, sacrés héros du séparatisme. Sans remonter jusqu'aux malheureux Biafrais, dont la volonté de se couper du Nigeria, encouragée par de Gaulle et la presse parisienne, a fait naguère plus de 1 million de morts dans leurs rangs. Le séparatisme irlandais eut lui-même de chauds partisans parmi nous au XXe siècle et ne fut en tout cas jamais taxé de crime contre l'humanité, bien au contraire. Quant au séparatisme basque, nous le regardons avec une considération à peine attristée par le nombre de ses victimes. Que dire de notre tendresse pour le séparatisme tibétain ? Rien de commun avec l'hostilité et le mépris dont nous agonisons, dans nos médias, les Flamands qui ne veulent plus être belges. Comme si la Belgique était condamnée pour l'éternité à avoir la même forme, le même nom, la même composition, alors que tout au long de l'Histoire les frontières de la France, de l'Allemagne, de l'Autriche, des États-Unis, de l'Indochine ont changé plusieurs fois, ainsi que leur appellation et leur population. Si la Belgique se divisait en République de Flandre et Wallonie démocratique, ce serait pour nous comme si on dessinait des moustaches à Tintin, comme si on remixait en techno les chansons de Jacques Brel, comme si on supprimait le tabac et la bière à Maigret, comme si on enlevait son chapeau à Amélie Nothomb. A force d'avoir créé des mythes, la Belgique en est devenue un, alors qu'elle est une réalité, une réalité qui n'en est plus une. Mais deux."

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Echt waar : de Heer  Besson is een Fransman van vreemde origine zonder frut in de ogen, en dus zeker geen imperialist! Het moet een bijzonder opwekkend gevoel geven, hem in de naaste vriendenkring te treffen. Dat de man ‘niet-praticerend communist’ is en veelschrijver, doet er even niet toe. Hij heeft, net als de Vlaming, de Vrijheid lief. Dat hij ondertussen in het kamp van Sarkozy thuishoort, kan ons alleen maar goed van pas komen : er zal over hem, en over ons dus, nog veel gesproken worden. Hoe meer Marine Le Pen zich roert, hoe meer Besoon aan het woord zal komen.

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